The Washington Post a publié un article sur la nécessité d'asseoir un enfant sur les genoux du Père Noël dans un contexte de popularisation du mouvement de lutte contre le harcèlement sexuel #MeToo.
La question a été soulevée par la journaliste Samantha Schmidt qui couvre les questions du genre et de la famille.
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— First Choice (@1stChoiceLoans) December 24, 2018
Selon elle, en général, les parents assoient leurs enfants sur les genoux du Père Noël pour faire une belle photo. Elle note également que pour les enfants américains, prendre une photo sur les genoux de Santa Claus est une sorte de rite de passage, une tradition culturelle.
Samantha Schmidt a essayé de trouver la réponse parmi les passants dont la majorité a été surprise par la question et a répondu n'y voir aucune menace pour les enfants et ce dans une tradition innocente.
«De nombreux parents ne voient pas de problème à participer à ce qu'ils considèrent comme une tradition innocente. Mais certains ont commencé à s'interroger sur la façon dont la culture aborde les photos avec le Père Noël sur fond du mouvement #MeToo », écrit Samantha Schmidt.
Par ailleurs, de nombreux parents ont répondu que si leur enfant, effrayé ou inquiet, ne voulait pas s'asseoir sur les genoux du père Noël, alors ils ne le forçaient pas.
À la fin de l'article, la journaliste cite les propos d'un psychologue au sujet de l'importance des leçons «sur l'autorisation et le toucher indésirable», ajoutant que les mains du Père Noël devaient rester visibles sur chaque photo, juste au cas où…