Le chat offert par Poutine à un gouverneur nippon apprend le japonais

Le chat sibérien Miru, offert au gouverneur nippon par Vladimir Poutine, s’est habitué depuis longtemps à sa nouvelle vie au Japon. En quelques années, il a appris à comprendre la langue du pays et a pris huit kilos, a confié son maître à Sputnik, le gouverneur de la préfecture japonaise d’Akita, Norihisa Satake.
Sputnik

Offert au gouverneur nippon par Vladimir Poutine en 2013, le chat sibérien Miru se sent dans sa nouvelle maison comme un poisson dans l'eau. Il s'entend très bien avec les six autres chats et comprend le japonais, comme l'a raconté son maître à Sputnik, le gouverneur de la préfecture japonaise d'Akita, Norihisa Satake.

«Le chat répond tout de suite. À six heures du matin, il demande à manger. Il vient, me touche avec sa patte et commence à miauler», a-t-il ajouté.

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Il a également évoqué ce chiot de race Akita, nommé Ioumé («rêve» en japonais), offert au Président russe en 2012 en signe de gratitude pour l'aide apportée par la Russie à la région du nord-est du Japon, qui comprend la préfecture d'Akita, affectée par le fort séisme et le tsunami de mars 2011.

Selon lui, depuis qu’il a été offert à la patineuse russe Alina Zagitova, championne olympique en titre, cette chienne est devenu une mascotte en Russie.

«On m'a dit qu'en Russie on peut voir des chiens de la même race dans différentes régions et ça me fait plaisir. Ce n'est pas uniquement par rapport à la Russie mais aussi pour le fait que ce chien est devenu célèbre à travers le monde», a-t-il souligné.

En 2017 lors d'une rencontre avec les députés russes d'Extrême-Orient, Norihisa Satake n'a pas manqué de donner des nouvelles de son compagnon. Il a d'ailleurs affirmé qu'il s'était beaucoup attaché à Miru et que plusieurs personnes avaient remarqué que son museau avait pris des traits japonais.

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