«À la demande de la partie algérienne, la possibilité de la création d'une entreprise conjointe de fabrication, réparation, la prolongation de la durée de vie et l'élimination des munitions guidées et non guidées en Algérie est examinée», a-t-il déclaré mercredi cité par son service de presse.
Selon M.Bandarev, des projets de service après-vente de la production russe militaire sont également à différences étapes du développement.
«À l'heure actuelle, la possibilité de livraison de nouveaux armements et matériels militaires qui n'ont pas encore été exportés en Algérie est examinée pour promouvoir les intérêts russes dans les conditions de la concurrence sur le marché algérien d'armes», a ajouté le sénateur russe.
Il s'est référé aux informations de la Défense algérienne, selon lesquelles au cours de la décennie écoulée, l'Algérie a acheté des armes russes pour plus de 26 milliards de dollars (23 milliards d'euros).