Le visage de petits Aleppins dont la volonté à toute épreuve étonne

Sputnik

31.173 vies humaines emportées lors du siège d'Alep, selon le Centre de documentation des violations en Syrie, des destructions irréparables et de nombreuses familles sans toit. La ville d'Alep continue sa vie et les enfants aleppins donnent le rythme. Certains se réjouissent à la perspective d'une journée en liberté après l'école, d'autres jouent dans les ruines comme si de rien n'était.

D'autres encore, avec des brûlures sur le visage, comme estampillés par la guerre, tentent de restaurer leur vie détruite, cherchent un moyen de survivre et gagner de l'argent en vendant du chewing-gum.

Certes, leur volonté est de pourvoir vivre comme avant la guerre, et ces petits ne montrent pas de désespoir face aux destructions et aux changements irréversibles dans leurs vie et ville.

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Des garçons arborent le drapeau syrien.
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Des garçons-écoliers dans une rue d’Alep. Selon les données du Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), un total de 5,3 millions d’enfants avaient encore besoin d’une aide humanitaire en avril 2018.
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Octobre 2018. Une foule d’écoliers joyeux après les cours. En septembre 2016, quelque 100.000 enfants – sur 250.000 habitants– vivaient encore le siège, écrivait The New York Times à l’époque, se référant à des représentants de l’organisation Save The Children.
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Dans les écoles syriennes, l’uniforme est simple: chemises bleues pour les garçons, chemises roses pour les filles.
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Des enfants se promènent devant la citadelle d’Alep, une ancienne forteresse, elle aussi endommagée pendant la guerre.
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Des enfants devant la citadelle d’Alep. À la vue d’une caméra, les petits Aleppins affluent vers le photographe pour poser ou se faire photographier avec lui.
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Après sept ans de guerre, la Syrie reste le pays plus dangereux pour les enfants, selon Save The Children.
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Des écoliers en sortie scolaire dans la citadelle d’Alep partiellement détruite lors du siège de 2012 à 2016.
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Des enfants jouent sur les murs de la citadelle d’Alep.
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Dans les écoles syriennes, l’uniforme est simple: chemises bleues pour les garçons, chemises roses pour les filles.
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«Je suis tellement heureuse de regagner ma maison et de retourner à l’école», confiait à la BBC une petite Syrienne, à Alep, en mars 2018.
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En cela, une école sur trois en Syrie ne peut pas être fréquentée à cause des destructions ou bien parce qu’elle est utilisée à des fins militaires.
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Toujours selon l’UNICEF, plus de deux millions d’élèves syriens étaient déscolarisés, selon les données d’avril 2018.
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Des filles devant un portrait du Président Bachar el-Assad.
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En plein conflit, il y a eu de nombreuses tentatives de remédier à la situation, les enfants de la ville d’Alep ont notamment pu se servir d’hôpitaux mobiles introduits à l’initiative de l’UNICEF.
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Une fille quitte la citadelle d’Alep.
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La place devant la citadelle d’Alep animée, pleine d’enfants qui jouent, s’achètent des noix et délices, sans faire attention aux immeubles détruits qui les entourent.
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Des écoliers en excursion posent pour une photo avec leurs amis. 2,7 millions d’enfants syriens ont été enregistrés comme réfugiés dans différents pays tels que l’Égypte, l’Irak, la Jordanie, le Liban et la Turquie depuis le début de la crise.
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Une foule d’enfants avec des ruines en arrière-plan.
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Une foule d’enfants avec des ruines en arrière-plan.
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