Selon les militaires colombiens, les responsables de l'explosion seraient des «éléments armés» qui font face à l'offensive de l'armée contre des groupes criminels dans la région.
Gran Tierra Energy a déplacé du personnel sur les lieux pour réparer les dégâts, empêcher la marée noire de se répandre et ensuite reprendre la production.
Dans le département de Putumayo, les rebelles de l'Armée de libération nationale (ELN), le premier groupe rebelle en importance impliqué dans le conflit armé colombien depuis la transformation des FARC en parti politique, continuent d'attaquer des sites d'infrastructure malgré les négociations de paix menées en parallèle avec les autorités du pays.