«Les S-300 russes contre les chasseurs F-35 israéliens: qui dominera l'espace aérien syrien?», tel est le titre d'un article publié sur la plateforme informatique The EurAsian Times, comparant les performances des deux armes et interrogeant des experts compétents en la matière.
«Le fait que les Américains aient tenté de rendre l'avion invisible ne signifie pas qu'il le soit vraiment», déclare un expert de la défense, ajoutant: «Ce n'est pas pour rien si le Pentagone a récemment soudainement annoncé la nécessité de tests supplémentaires pour le F-35. Cela montre clairement que les États-Unis eux-mêmes ne croient pas en la compétence du F-35 contre les systèmes de défense antiaérienne S-300».
Dans ce contexte, la plateforme informatique ajoute que «des informations suggèrent que dès que l'Iran avait commencé à négocier avec la Russie au sujet de l'achat de S-300 pour sa défense, Israël aurait payé beaucoup d'argent à la Grèce pour pouvoir accéder à ces systèmes et à les étudier», et «les États-Unis ont acheté des parties du complexe via la Biélorussie».
«Cependant, il faut comprendre qu'il s'agissait des premières versions des S-300. La différence entre la technologie moderne et celle de 1978 est énorme», souligne The EurAsian Times.
«L'aviation israélienne est suffisamment nombreuse et bien équipée pour résister à une telle protection. Mais le risque de pertes, dans ce cas, sera beaucoup plus élevé», conclut un interlocuteur de l'agence.