Cette femme espère que son histoire encouragera l'électorat à résister à la radicalisation de jeunes musulmans et renforcera la tolérance dans la société.
Le fils de Fatima Ezzarhouni a trouvé la mort le mois dernier en Syrie où il se trouvait depuis 2013. Sa femme et son fils sont toujours à Idlib, dernier grand bastion des radicaux dans ce pays. À l'heure actuelle, Mme Ezzarhouni tente sans succès de faire venir son petit-fils en Belgique.
Auparavant, des médias belges avait fait savoir que le nombre de sujets du royaume dans les rangs des terroristes en Irak et en Syrie était d'environ 600. Il s'agit des radicaux tués et de ceux qui se trouvent encore dans ces pays ou essaient de rentrer en Belgique.
*Organisation terroriste interdite en Russie