Selon la décision du parquet du pays, cette danse, du fait du contact physique entre une danseuse et un client, peut tomber sous la définition de prostitution.
Cette mesure était nécessaire pour lutter efficacement contre les strip-clubs qui continuaient d'accorder des services sexuels en les masquant en danses, a expliqué Sharit Peretz, chef du Département de la lutte contre la traite des êtres humains.