L'ambiance dans les rues de Nantes semble de moins en moins sécurisée, comme a pu constater la famille d'une des filles tabassées par des migrants. Sur Facebook, le cousin de la jeune fille a publié l'histoire racontée par le père de celle-ci, qui s'est produite samedi dernier, et l'a accompagnée d'une image du visage de sa cousine après l'attaque. La publication a été depuis supprimée, mais largement relayée sur les réseaux sociaux.
Indigné, le père a décrit l'attaque qui s'est déroulée lorsque sa fille et ses trois amies sortaient d'une boite de nuit. Elles ont reçu des bouteilles de bière dans le visage et des coups de pied. Par conséquent, des «points de sutures» sur la tête et des hématomes se distinguent partout sur leur corps.
Le père a reproché au Président de la République la situation migratoire dans le pays, nuisible pour l'État et le peuple, avec «plus de 250 migrants dans les tentes» installées dans le centre de la ville. De même, il a fustigé l'inaction de la police.
Auparavant, le parquet de la commune d'Auxerre, dans l'Yonne, a délivré deux mandats d'arrêts à l'encontre de deux migrants afghans, soupçonnés d'avoir violé collectivement un adolescent de 15 ans le 5 août dernier. La victime a porté plainte et une enquête judiciaire pour viol en réunion a été ouverte.