«Le Queen Elizabeth est la véritable expression de notre puissance nationale et, à l'heure où il quitte son port pour naviguer sur les océans, tout le pays peut être fier de ce symbole magnifique de notre prouesse technique et de nos ambitions internationales», a déclaré le chef de la Défense britannique Gavin Williamson.
«En longeant la côte est des États-Unis, il [le porte-avions, ndlr] montrera notre détermination à continuer de combattre aux côtés de nos alliés partout dans ce monde de plus en plus complexe et instable», a-t-il ajouté.
Au cours de la traversée de Plymouth, port d'attache du Queen Elizabeth, aux États-Unis qui durera 11 semaines, deux chasseurs F-35 y apponteront pour sur le. Il est prévu qu'en tout 500 décollages et appontages aient lieu.
En 2017, en réponse à la déclaration du chef de la Défense britannique de l'époque Michael Fallon sur la supériorité de ce bâtiment britannique sur le porte-avions russe Amiral Kouznetsov, le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov avait qualifié le Queen Elizabeth de «grosse cible facile» incapable d'agir sans protection navale et aérienne.