Si avant la guerre, les chiens en Syrie ne servaient qu'à garder le bétail ou une plantation, tout a changé avec la libération du pays des terroristes. Désormais, une nouvelle tendance s'est affirmée dans le pays, et les Damascènes, par exemple, achètent des chiens pour leur confort moral et les gardent dans leurs maisons et appartements, constate Sputnik.
Dans le parc d'al Jahiz, au centre de la capitale syrienne, les promeneurs de chiens ont choisi un coin pour ne pas déranger les autres.
Des amitiés s'y forgent rapidement sur la base de l'amour pour les animaux à quatre pattes.
Des habitants de la ville y viennent également pour mieux connaître les chiens.
La Damascène Zuhur al Halabi promène sa chienne Lili.
Elle dit aimer se promener dans la ville.
Quand elle lui dit qu'elle doit aller faire des courses, Lili le comprend et obéit.
Zuhur est persuadée que c'est le maître qui donne le ton de la communication avec le chien et qui définit les limites de son comportement.