Pour surfer sur Tinder, Alexandre Benalla se serait servi de photos avec… Emmanuel Macron

Pour faire des rencontres grâce à l’application Tinder, Alexandre Benalla, ancien chargé de mission à l’Élysée, a publié, entre autres, plusieurs photos où il apparaît aux côtés du Président français, a communiqué le 2 août le journal Closer.
Sputnik

Sur fond de la polémique animée autour de l'affaire Banella, le magazine people Closer a publié le jeudi 2 août les photos utilisées par Alexandre Benalla, ancien chargé de mission à l'Élysée, pour surfer sur l'application de rencontre Tinder.

​Ainsi, comme l'indique Closer, sur son profil Tinder, M.Benalla dont la photo principale, réalisée en noir et blanc, le représente en costume, affiche son âge et précise qu'il habite Paris. Cependant en faisant défiler les photos on le retrouve plusieurs fois aux côtés d'Emmanuel Macron.

​Par ailleurs, un autre détail intéressant: l'ancien-collaborateur de Macron a choisi de s'affubler du pseudonyme de… Mars, soit la planète précédant Jupiter dans le système solaire, le surnom non-officiel attribué au chef d'État français.

Une fois cette information relayée par les médias, les internautes n'ont pas tardé à réagir.

​Certains internautes ont plutôt pris cette publication à la rigolade.

Affaire Benalla: une nouvelle photo compromettante mise en ligne
​Depuis mi-juillet, Alexandre Benalla, collaborateur du Président de la République française, dont le licenciement a été annoncé le 20 juillet, s'est retrouvée au cœur d'une vive polémique. Il avait été filmé le 1er mai à Paris en train de frapper des manifestants alors qu'il était présent en tant qu'observateur auprès des forces de l'ordre. M.Benalla a été ensuite placé le même jour en garde à vue pour violences et usurpation de fonction.

Son domicile à Issy-les-Moulineaux a été perquisitionné le 21 juillet au matin. Le 22 juillet, le parquet de Paris a annoncé la mise en examen pour «violences en réunion» d'Alexandre Benalla et des quatre autres protagonistes filmés en train de frapper des manifestants le 1er mai.

Le Président Macron a affirmé le 24 juillet, devant des membres du gouvernement et des députés de la République en Marche, que les faits qui s'étaient produits le 1er mai étaient une «trahison» et que le seul responsable de la situation était lui-même.

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