«[…] La réalité des forces politiques […] à l’Assemblée nationale ne doit pas nous conduire à envisager que cette motion de censure puisse conduire à sanctionner le gouvernement d'Édouard Philippe», a notamment déclaré le Président français.
Le 26 juillet, à 18 heures, les députés LR ont déposé une motion de censure contre le gouvernement sur l'affaire Benalla. Elle sera examinée mardi à 15h00, précisent des médias français.
M.Benalla a été ensuite placé en garde à vue pour violences et usurpation de fonction. Son domicile à Issy-les-Moulineaux a été perquisitionné le 21 juillet au matin. Le 22 juillet, le parquet de Paris a annoncé la mise en examen pour «violences en réunion» d'Alexandre Benalla et des quatre autres protagonistes filmés en train de frapper des manifestants le 1er mai.
Le Président Macron a affirmé le 24 juillet, devant des membres du gouvernement et des députés de la République en Marche, que les faits qui s'étaient produits le 1er mai étaient une «trahison» et que le seul responsable de la situation était lui-même.