Retrouvez l'histoire de cet objet si représentatif du Pays des Tsars dans ce diaporama réalisé par Sputnik.
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Le nom matriochka est dérivé du prénom féminin russe et répandu Matriona. Sur la photo: des matriochkas avec les symboles de la Coupe du Monde de football 2018 dans un magasin de souvenirs.
© Sputnik . Igor Zarembo
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La figurine du dieu Fukuruma, du panthéon bouddhiste, apportée du Japon dans le domaine d’Abramtsevo.
© Photo Vadim Khoryakov
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Inspiré par le concept de poupée de tailles décroissantes placées les unes à l'intérieur des autres, le tourneur Vassili Zvezdotchkine a créé une figurine avec à l’intérieur sept autres semblables mais moins grandes. Sur la photo: des matriochkas, des pièces en bois à peindre.
© Sputnik
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La plus grande figurine représentait une paysanne avec un coq recélant des figurines de fillettes et de garçons. Serguei Malioutine, le peintre de l’atelier auprès du magasin «Education des enfants» de l’éditeur Anatoli Mamontov est l’auteur de la première matriochka.
© Sputnik . Artyom Pavlov
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La poupée russe a été présentée en 1900 à l’Exposition universelle de Paris, ensuite aux foires en Allemagne et au Royaume-Uni. Sur la photo: le stand soviétique à l’Exposition universelle de Hanovre, 1973.
© Sputnik . Anatoly Sergeev-Vasiliev
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La matriochka étant largement prisée, la production de poupées est lancée en plus de Moscou, à la fabrique de jouets de Zagorsk (actuellement Serguiev Possad). Sur la photo: des matriochkas devant la Laure de la Trinité Saint-Serge à Serguiev Possad.
© Sputnik . Yuri Somov
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Des artisans d’autres régions russes se mettent plus tard à faire des matriochkas. Chaque région avait son style de peinture et ses couleurs.
© Sputnik . Alexey Kudenko
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Il existe aujourd’hui des matriochkas traditionnelles et d’auteurs inspirées tant des paysannes en châle que de personnalités en vue, de politiciens, de personnages de contes. Sur la photo: un supporter de la sélection croate avec une matriochka représentant la footballeur croate Luka Modric.
© Sputnik . Mikhail Serbin
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