Carlos Osorio a raconté à Sputnik qu'il aimait tellement la sélection de son pays qu'il avait assisté à tous ses matchs lors de cette Coupe du Monde de football, qu'il s'agisse de sa victoire sur l'Allemagne à Moscou, de son triomphe sur la Corée du Sud à Rostov-sur-le-Don ou de sa défaite face à la Suède à Ekaterinbourg.
Pour se rendre à Samara, rien qu'en Russie, il a traversé 4.000 km «où il faut encore beaucoup faire» pour que «les handicapés puissent circuler librement».
Il a toutefois souligné que tous ces problèmes étaient compensés par la bonté des Russes, toujours disponibles pour prêter main forte et vous aider, par exemple, à descendre l'escalier.
«L'image avec laquelle nous sommes venus se distingue bien de celle que nous avons vue en Russie. Nous avons craint l'insécurité, mais nous ne l'avons sentie ni vue nulle part. […] C'est un pays qui vaut la peine d'être visité, avec une culture que nous ne pouvions même pas nous imaginer et qui vaut d'être partagée avec l'Amérique latine», a déclaré l'interlocuteur de Sputnik.
Et d'ajouter que le peuple russe, c'était la principale raison pour laquelle les Osorio étaient tombés amoureux de la Russie.
L'épouse de Carlos a dit à Sputnik qu'elle admirait l'hospitalité, le soutien et la bonté dont les Russes faisaient invariablement preuve. Leur fils Pablo s'est rangé à son avis.