Selon des experts, la naissance en captivité de ces petits permet d'espérer un rétablissement de la population de ces primates, qui sont actuellement menacés de disparition. Ces 20 dernières années, leur nombre dans l'île de Madagascar, leur terre d'origine, s'est considérablement réduit jusqu'à atteindre le chiffre de 10.000 individus.