Veeranut Rojanaprapa, professeur assistant, a ouvert ce café dans le cadre d'une étude pour sa thèse de doctorat en philosophie et religion dont le sujet est de savoir comment diminuer la cupidité et réduire l'indice de corruption grâce au bouddhisme, notamment en réalisant et en acceptant l'idée de la mort.
Pour encourager les gens à cette pratique, il propose à chacun de passer trois petites minutes dans ce cercueil blanc à dorures posé sur la véranda du café. Or, selon ceux qui ont vécu l'expérience, ces «petites» minutes durent une éternité et une seule pensée traverse l'esprit encore et toujours: «Et si personne n'ouvrait le cercueil?»