«En dépit du fait que cela ressemble à une histoire de cinéma, ce n'est pas le cas», a indiqué au média Charles Grimsley, procureur militaire en chef d'une cours martiale.
Les militaires impliqués dans cette affaire étaient de la 90e unité aérienne de missiles. Comme l'a indiqué à AP le porte-parole des forces aériennes américaines, Uriah L. Orland, les faits reprochés aux 14 soldats se sont produits hors service.
«Il y a de nombreuses vérifications pour assurer que des militaires qui prennent leur service ne sont pas sous l'influence de l'alcool ou de drogues et qu'ils sont capables d'accomplir leur mission en toute sécurité et avec efficacité.»
«J'ai senti un délire paranoïde, de la panique. Je ne savais pas si j'allais mourir cette nuit-là ou pas», a-t-il raconté.
D'autres soldats ont, eux, avoué avoir apprécié les effets de cette drogue, précise le média.
«J'ai adoré l'altération complète de mon esprit tout simplement», a souligné l'un d'entre eux.