«Nous n'avons pas d'accords internationaux qui pourraient limiter nos livraisons d'armes défensives en Syrie. En tout cas, ces questions sont réglées au niveau des autorités du pays, cela sera annoncé de manière appropriée», a-t-il fait remarquer.
Il a en outre souligné que la décision sur la livraison des armes défensives était bilatérale.
«C'est toujours une décision bilatérale. Aucun accord de la Russie ou de la Syrie dans les structures internationales ne la limite. Ce sont des armes défensives qui, lorsque les parties se sont accordées, peuvent être livrées dans un autre pays.»
Après la frappe réalisée dans la nuit du 13 au 14 avril par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni, l'état-major russe a déclaré que la Russie pourrait revenir sur la question des livraisons de S-300 à la Syrie et à d'autres pays.
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a de son côté fait savoir ce mardi que la décision concernant la livraison de S-300 n'était pas encore prise.