Les conseillers du Président américain craignent que le leader nord-coréen n'ait fait que des «promesses relativement modestes» concernant le programme nucléaire de son pays et qu'il ne fasse machine arrière le cas échéant, relate le journal The Washington Post.
Certains d'entre eux considèrent en outre les propos de Kim Jong-un comme une tentative visant à pousser les États-Unis et leurs alliés à «assouplir» le régime de sanctions économiques vis-à-vis de Pyongyang.
Le leader nord-coréen a déclaré samedi que Pyongyang cesserait d'utiliser son polygone d'essais nucléaires de Punggye-ri et gèlerait ses tests nucléaires et ses tirs de missiles balistiques intercontinentaux à partir du 21 avril.
Kim Jong-un et le Président Donald Trump se sont précédemment entendus de se rencontrer en mai ou en juin, alors qu'un sommet intercoréen est programmé pour avril.