L’armée syrienne peut prouver que l’«attaque chimique» est une mise en scène (vidéo)

L'armée syrienne dispose de preuves irréfutables que la vidéo d'une prétendue attaque chimique a été réalisée par les radicaux et leurs maîtres occidentaux afin de leur fournir un prétexte pour attaquer l'armée syrienne et le gouvernement du pays, a affirmé une source militaire syrienne à Sputnik.
Sputnik

La prétendue attaque chimique dans la ville syrienne de Douma n'est qu'une mise en scène organisée par les radicaux et leurs protecteurs occidentaux pour pouvoir lancer une attaque contre la Syrie, et l'armée syrienne peut le prouver, a affirmé une source militaire syrienne à Sputnik.

«Lors d'inspections dans des repaires de terroristes dans la Ghouta orientale, l'armée syrienne a découvert de vastes locaux où étaient conservés des uniformes de Casques blancs dont les activités sont payées par le Royaume-Uni et l'Arabie saoudite. Les militaires ont également trouvé des laboratoires et des locaux distincts de stockage de substances chimiques, ainsi que des plaques minéralogiques saoudiennes», selon la source.

Le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie avait précédemment déclaré que «toutes les accusations des Casques blancs, ainsi que les photos et vidéos que ceux-ci diffusent sur les réseaux sociaux pour présenter de soi-disant victimes de l'attaque chimique n'étaient que de nouveaux faux et une tentative de torpiller la trêve établie».

Casques blancs

Selon les pays occidentaux, une attaque chimique présumée a eu lieu le 7 avril à Douma. La Russie a démenti les informations concernant une bombe au chlore qui aurait été larguée par les forces gouvernementales syriennes.

L’équipement du laboratoire chimique de Douma serait de fabrication occidentale
Les militaires russes ont qualifié de fausses les photos de victimes de la prétendue attaque chimique à Douma publiées par les Casques blancs sur les réseaux sociaux. Moscou estime que l'objectif de ces «intox» est de protéger les terroristes et de justifier d'éventuelles actions extérieures.

Une mission de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) est arrivée le 14 avril, soit après le bombardement occidental, à Damas pour enquêter sur l'attaque prétendue à Douma.

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