Le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov, a annoncé quelles autres cibles en Syrie avaient les États-Unis, le Royaume-Uni et la France outre celles à Barzeh et à Jaramana.
«Non seulement des installations à Barzeh et Jaramana faisaient partie des cibles des frappes effectuées le 14 avril par les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, mais il y avait aussi des sites militaires syriens, y compris des aérodromes», a fait savoir le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov.
Le porte-parole de la Défense russe a rajouté que pour repousser l'attaque, l'armée gouvernementale syrienne avait eu recours à des systèmes de missiles sol-air S-200, S-125, Bouk, à des 9K33 Osa, véhicules antiaérien équipés de missiles sol-air, et à des 9K35 Strela-10, systèmes antiaérien mobiles à courte portée.
Une mission de l'OIAC est arrivée le 14 avril à Damas pour enquêter sur l'attaque chimique prétendue à Douma, c'est-à-dire après le bombardement des pays occidentaux.