Retrouvez les photos d’une représentante de la nouvelle génération de femmes saoudiennes dans ce diaporama de Sputnik.
1 / 12
Dans le cadre des réformes visant à moderniser la vie en Arabie saoudite et à surmonter la dépendance du royaume au pétrole, le prince héritier Mohammed ben Salmane, âgé de 32 ans, a affaibli le contrôle sur la société en diminuant les pouvoirs de la police religieuse, en finançant des concerts publics et en levant l’interdiction des cinémas promulguée il y a 40 ans.
Sur la photo: Amirah al-Turkistani, enseignante en infographie du Jeddah International College à son bureau chez elle.
Sur la photo: Amirah al-Turkistani, enseignante en infographie du Jeddah International College à son bureau chez elle.
© REUTERS / Reem Baeshen
2 / 12
Ces dernières années la condition féminine dans le royaume a subi de fortes modifications. Le gouvernement saoudien a pris des engagements internationaux en matière de droits des femmes en ratifiant la Convention des Nations Unies sur l'élimination des discriminations envers les femmes à condition toutefois que les termes de la Convention ne prévalent pas sur les normes du droit islamique. Depuis 2013 les femmes saoudiennes peuvent rouler en vélo et à partir de l’été 2018, elles auront le droit de conduire une voiture.
© REUTERS / Reem Baeshen
3 / 12
Mère de deux enfants, Amirah al-Turkistani représente une nouvelle génération de femmes saoudiennes. Diplômée de l’Université de Boston, elle enseigne l’infographie au Jeddah International College et complète ses fins de mois en fabriquant et en vendant des abayas, vêtement traditionnel des femmes orientales.
© REUTERS / Reem Baeshen
4 / 12
Amirah al-Turkistani a 30 ans, elle parle couramment anglais, arabe et turque.
© REUTERS / Reem Baeshen
8 / 12
Amirah al-Turkistani, enseignante d’infographie au Jeddah International College, fait un selfie dans la rue.
© REUTERS / Reem Baeshen
9 / 12
Pourtant toutes les femmes saoudiennes n’ont pas les mêmes facilités qu’Amirah. Des coutumes tribales, la dominance des hommes dans la famille et le conservatisme religieux subsistant, empêchent de nombreuses femmes saoudiennes de jouir pleinement de leurs droits.
Sur la photo: Amirah al-Turkistani dans la maison de ses parents à Jeddah en Arabie saoudite.
Sur la photo: Amirah al-Turkistani dans la maison de ses parents à Jeddah en Arabie saoudite.
© REUTERS / Reem Baeshen
10 / 12
Amirah al-Turkistani avec son mari lors d’une soirée chez des amis à Jeddah en Arabie saoudite.
© REUTERS / Reem Baeshen
11 / 12
Amirah reste attachée à certaines traditions islamiques. Elle porte des vêtements traditionnels longs et amples mais préfère des couleurs claires au lieu du noir.
Sur la photo: Amirah al-Turkistani avec son mari et leur fils.
Sur la photo: Amirah al-Turkistani avec son mari et leur fils.
© REUTERS / Reem Baeshen
12 / 12
Amirah portant un abaya qu’elle a elle-même fabriqué, avec son fils Dani chez elle à Jeddah, en Arabie saoudite.
© REUTERS / Reem Baeshen