Les optimistes sont moins susceptibles de développer des maladies cardiovasculaires, affirment des chercheurs américains dans une étude dont les résultats ont été publiés dans le journal médical BMJ Open.
Les scientifiques ont rassemblé des données sur 4.900 Américains d'origine latino-américaine. Ce groupe est considéré comme étant le plus vulnérable puisque beaucoup d'entre eux ne parlent pas anglais et ont du mal à trouver un médecin hispanophone.
Les individus qui ont participé à cette étude ont été divisés en trois groupes selon leur poids, leur activité physique et leur pression vasculaire. Le niveau d'optimisme a été évalué moyennant un test spécial.
D'après les résultats de la recherche, les optimistes se plaignent moins souvent de problèmes cardiaques.
Les chercheurs n'arrivent toujours pas à expliquer comment l'état psychologique influence sur le cœur mais ils affirment que la corrélation a été établie.