«Les civils, les réserves naturelles, les monuments historiques, culturels et religieux sont des cibles intouchables pour les Forces armées de Turquie!», indique la légende qui accompagne les images des villes sévèrement endommagées par les hostilités et les bombardements.
Outre le sort de Mossoul et Raqqa, anciennes «capitales» irakienne et syrienne de Daech*, l'état-major a cité en exemple les destructions subies par la Ghouta orientale et Alep.
Dimanche, le Président turc Recep Tayyip Erdogan avait affirmé que l'opposition syrienne soutenue par son armée avait pris le contrôle total de la ville d'Afrine.
Le vice-Premier ministre Bekir Bozdag a pour sa part promis que les forces armées turques ne resteraient pas dans le secteur d'Afrine une fois leur opération militaire terminée, laissant la région à ses «véritables propriétaires».
*Organisation interdite en Russie