«Le gouvernement turc a ouvert les frontières à des dizaines de milliers de terroristes en Syrie», a indiqué M.al-Jaafari.
Selon lui, Ankara a contribué à l’armement et au financement des terroristes, a créé des camps militaires pour ces derniers sur son territoire et a facilité leur accès aux armes chimiques.
Des groupes terroristes ont pillé des usines à Alep «à l’instigation du gouvernement turc», portant un préjudice de dizaines de milliards de dollars, a affirmé M.al-Jaafari accusant Ankara de crimes contre le peuple syrien.
Adoptée le 24 février dernier, la résolution 2401 du Conseil de sécurité de l’Onu exige que toutes les parties arrêtent immédiatement les hostilités pour au moins 30 jours consécutifs et garantissent une pause humanitaire durable nécessaire pour évacuer les blessés et les malades.