La slackline est considérée comme sport en Iran bien qu'il n'y ait pas de fédération dans le pays. Il se trouve toutefois des sponsors étrangers qui fournissent du matériel requis aux slackeurs iraniens, a raconté à Sputnik Saman Jooyandeh, ancien rochassier.
«Je fais du rocher depuis une dizaine d'années, et j'ai appris l'existence de la slackline en visionnant des films sportifs. C'est mon amis qui m'a initié à la slack que je ne pratique professionnellement que depuis trois ans tout au plus», a poursuivi l'interlocuteur de l'agence.
Et d'ajouter qu'il y avait en Iran une association d'amateurs de slackline qui échangeaient des informations, s'entraînaient ensemble ou organisaient même des compétitions.
Saman est persuadé que la slackline demande une grande concentration de forces physiques et mentales, mais que le principal est la volonté du slackeur lui-même.
«Chacun y poursuit son objectif. Pour moi, l'essentiel est d'en tirer du plaisir. Quand j'accomplis des figures plus compliquées, je ressens un grand sentiment de joie», a confié le slackeur à Sputnik.