Donald Trump a évoqué les pays «rivaux» des Etats-Unis «comme la Chine et la Russie» affirmant que ces derniers menacent «nos intérêts, notre économie et nos valeurs» et que face à eux «la faiblesse est la voie la plus sûre vers le conflit».
Car Donald Trump a fait des ambitions nucléaires de la Corée du Nord le défi international numéro un de son administration.
Après avoir dénoncé ses autres bêtes noires, du Venezuela de Nicolas Maduro à Cuba en passant par l'Iran, «l'Amérique se tient aux côtés du peuple iranien dans sa lutte courageuse pour la liberté», et après avoir souligné qu'il "reste beaucoup à faire" contre le groupe djihadiste Daech en Irak et en Syrie, le Président s'est longuement attardé sur la crise nord-coréenne.
«Aucun régime n'a opprimé ses propres citoyens» aussi «brutalement que la dictature cruelle de Corée du Nord», a-t-il dit. Selon lui, «la dangereuse quête de missiles nucléaires par la Corée du Nord pourrait très prochainement menacer notre territoire» et il «suffit de regarder le caractère vicieux du régime nord-coréen pour comprendre» l'ampleur du défi.