Pourquoi Bill Clinton a échoué à découvrir la vérité sur la mort de JFK et sur les OVNIs?

Webster Hubbell, procureur général adjoint sous l’administration Bill Clinton, a conclu dans ses mémoires à l’existence d’une «aile secrète du gouvernement» qui détenait toutes les informations sur l’assassinat de John F. Kennedy et sur les OVNIs mais ne voulait pas les dévoiler même au Président en fonction, selon le journal britannique Express.
Sputnik

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A l'époque où il était locataire de la Maison-Blanche, Bill Clinton a vainement essayé d'obtenir plus d'informations sur deux sujets qui préoccupent depuis longtemps les tenants de théories du complot: qui d'autre que Lee Harvey Oswald est impliqué dans la mort de John F. Kennedy et le gouvernement américain cache la vérité sur les contacts avec des extraterrestres, écrit le journal britannique Express, se référant aux mémoires de Webster Hubbell, procureur général adjoint sous la première administration de Bill Clinton.

Si l'on en croit ses mémoires intitulés Friends in High Places (Des Amis en hauts lieux, ndlr), Bill Clinton lui a demandé de trouver toutes les informations possibles sur ces deux sujets. En dépit de ses efforts, il s'est heurté à un mur chaque fois qu'il a tenté d'en apprendre plus.

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Ainsi, il n'a même pas réussi à avoir accès aux dossiers sur la mort de JFK, dont certaines parties ont été récemment déclassifiées. Quant aux informations sur les OVNIs, le chef de la CIA de l'époque, James Woolsey, lui avait seulement révélé que l'agence avait dirigé deux projets nommés Project SIGN et Project SAUCER pour déterminer si les OVNIs observés menaçaient la sécurité nationale. Selon M. Woolsey, les OVNIs ne représentaient aucun danger pour les États-Unis.

Ayant échoué à faire toute la lumière sur les sujets, M. Hubble a estimé qu'une «aile secrète du gouvernement» détenait toutes les informations et refusait de les communiquer même au Président en fonction.

Le quotidien britannique note que cette conclusion donne du grain à moudre aux théoriciens du complot, comme le Paradigm Research Group (PRG), qui militent pour la publication des informations classifiées sur des projets secrets que le gouvernement américain soutient mais dont il nie l'existence.

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