Fashion week à Paris: surréalisme, espace et fantaisies féminines

Sputnik

Découvrez les défilés de haute-couture dans ce diaporama réalisé par Sputnik.

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La récente collection de Karl Lagerfeld créée pour Chanel a été présentée le 23 janvier au Grand Palais. Le pavillon a été décoré dans le style du parc de Versailles avec un jardin-labyrinthe. Les mannequins paraissaient mystérieuses grâce à un voile ornée d’une fleur.
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Ce ne sont pas que les vêtements traditionnellement somptueux qui ont ravi le public, mais aussi le filleul de Lagerfeld, Hudson Kroenig. Le garçon est arrivé sur le podium avec un panier de roses. Il a dispersé les fleurs avant le défilé final de la «mariée».
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La styliste italienne Maria Grazia Chiuri s’est inspirée pour sa collection pour Christian Dior des œuvres de la peintre surréaliste Leonor Fini.
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Les sujets surréalistes étaient présents dans le maquillage des mannequins. L’accent a été mis sur les yeux agrandis.
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Bertrand Guyon, le styliste en vue chez Schiaparelli a utilisé un tissu très fin et le trou de serrure, symbole légendaire de la maison de mode.
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La styliste néerlandaise Iris van Herpen a essayé de créer l’image d’une femme incarnant la nature. Le défilé s’est déroulé à la Galerie de Minéralogie et de Géologie. La collection comporte 21 costumes faits en tissu imprimé en 3D qui imitent la figure féminine.
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Plusieurs costumes sophistiqués de la collection d’Iris van Herpen sont conçus conjointement avec l’Université de technologie de Delft.
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Le couturier italien Giambattista Valli poursuit ses expérimentations avec des costumes féminins en chiffon et en tulle. Il a utilisé pour ses robes à plusieurs étages présentées au défilé final près de 350 mètres de tissu.
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Le défilé de la collection de Christian Dior conçue par la directrice artistique de Maria Grazia Chiuri.
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Des mannequins ont présenté la nouvelle collection de Christian Dior. Elles ont porté des masques mystérieux et surréalistes faits en tulle noire ou en métal doré. Ces masques sont dédiés à la femme légendaire de la première moitié du XX siècle: Peggy Guggenheim.
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Le couturier nippon Yuima Nakazato fait cohabiter dans ses œuvres la mode et les technologies. En inventant sa collection printemps-été, le styliste s’est entretenu avec des représentants de la JAXA (Agence d'exploration aérospatiale japonaise) pour étudier la structure des scaphandres.
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La récente collection de Nakazato, «Harmonisation» remonte à l’esthétique des voyages dans l’espace.
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Le couturier libanais Georges Hobeika a associé l’esthétique médiévale aux technologies modernes de traitement de tissus. La collection mélange les teintes de vert et de bleu jointes au beige et au doré.
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Les robes classiques de la collection printemps-été du couturier libanais sont complétées par des tiares, des sortie-de-bal médiévales, des cols et des bas de jupes asymétriques.
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La présentation de la collection Ralph & Russo a couronné le défilé de la «mariée»: la bloggeuse brésilienne connue Camila Coelho. Elle a avoué avoir eu plus peur sur le podium que lors de sa propre cérémonie de mariage, d’autant plus que la robe était très lourde.
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