«Tout d’abord, les collections des musées ont été évacuées et placées dans des dépôts spéciaux, destinés à protéger les pièces précieuses non seulement contre la guerre et les pilleurs, mais aussi contre les incendies et les inondations», a-t-il précisé.
Et d’ajouter que les portes des musées avaient été fortifiées.
Afin de couper court au trafic d’antiquités, un système de contrôle renforcé a été mis en place aux frontières, a encore indiqué l’interlocuteur de l’agence.
Et d’attirer l’attention sur le fait que le sort des vestiges dépendait généralement des militaires qui libèrent telle ou telle ville. Ainsi, relate-t-il, lors de la reprise de Palmyre, les «troupes russes et syriennes ont conduit les combats prudemment, tentant de mener les affrontements loin de la partie historique de la ville et ce pour préserver les vestiges», a-t-il conclu.