Un paradis pour les introvertis: les villes où n’habite qu’une seule personne

Sputnik
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La ville américaine de Buford est connue par le fait qu’elle n’est habitée que par une seule personne, mais aussi pas son histoire peu commune. Son seul habitant Don Sammons y travaillait à la fois à la pompe à essence, comme vendeur, comme concierge et comme maire.
En 2012, la ville a été vendue aux enchères pour seulement 900.000 dollars. Elle a été achetée par un homme d’affaires vietnamien qui a gardé Sammons au poste de maire et a rebaptisé la ville PhinDeli.
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Monowi est une petite ville américaine qui n’a jamais été surpeuplée. Dans ses meilleures années, notamment dans les années 1930, quelque 150 personnes y résidaient.
Depuis 2000, un seul couple y habitait. C’était les Eiler. En 2004, à la mort de son époux, Elsie Eiler est restée seule pour devenir l’unique habitante et la maire de Monowi. Ainsi, elle se paie des impôts à elle-même et s’octroie elle-même les licences pour vendre de l’alcool.
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La ville néo-zélandaise de Cass n’est en fait qu’une station de chemin de fer, et il est tout à fait logique que son unique habitant, Barry Drummond, soit le chef de cette petite gare.
Force est toutefois de reconnaître que M.Drummond ne reste pas souvent solitaire, la ville étant située sur l’itinéraire d’une promenade pédestre, très populaire parmi les touristes visitant les montagnes d’alentour.
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La petite ville américaine de Bonanza a beaucoup de pétrole, mais, par contre, très peu d’habitants. En fait, elle n’en a qu’un seul.
Il est vrai qu’il n’y a là qu’un seul habitant permanent, mais des groupes d’ouvriers ne cessent de s’y relayer pour extraire du brut.
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Des villes à des populations minuscules ne se rencontrent pas seulement outre-Atlantique. Rochefourchat est connue pour être la commune de France la moins peuplée avec un habitant recensé officiellement en janvier 2014. Le dénommé Jean-Baptiste Lully y est le surveillant des ruines d’un vieux château. N’est-ce pas une histoire plutôt romantique?
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Malgré son nom, la ville américaine d’Oil Springs n’a rien à voir avec l’extraction de pétrole. Il s’agit tout simplement d’une réserve indienne dépeuplée, dont le seul habitant est un Américain de souche, représentant de la tribu indienne Seneca.
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