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La Première ministre danoise défend Joe Biden sur le dossier des sous-marins
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La Première ministre danoise a estimé mercredi que l'annulation par l'Australie du contrat de sous-marins avec la France dans le cadre du pacte conclu entre... 22.09.2021, Sputnik Afrique
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Alors que l'Allemagne et la Commission européenne ont apporté leur soutien à la France sur ce dossier, Mette Frederiksen a souligné que le Président américain Joe Biden était un fidèle défenseur des relations entre l'Europe et les États-Unis."Et je pense en général qu'il faut s'abstenir de soulever certains obstacles spécifiques, qui existeront toujours entre alliés, jusqu'à un niveau où ils ne sont pas censés être. Je veux vraiment, vraiment mettre en garde contre cela", a-t-elle ajouté.La France, qui a rappelé son ambassadeur à Washington et demandé aux États-Unis des explications sur ce qu'elle présente comme une "rupture majeure de confiance" entre alliés, a dit étudier toutes ses options.Emmanuel Macron a eu ce mercredi un entretien téléphonique de "clarification" avec le Président américain après l'annulation par l'Australie de ce contrat évalué à 40 milliards de dollars (34,1 milliards d'euros).
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La Première ministre danoise défend Joe Biden sur le dossier des sous-marins
20:06 22.09.2021 (Mis à jour: 20:14 22.09.2021) La Première ministre danoise a estimé mercredi que l'annulation par l'Australie du contrat de sous-marins avec la France dans le cadre du pacte conclu entre Canberra, Londres et Washington ne pouvait servir de motif à un différend transatlantique.
Alors que l'Allemagne et la Commission européenne ont apporté leur soutien à la France sur ce dossier, Mette Frederiksen a souligné que le Président américain Joe Biden était un fidèle défenseur des relations entre l'Europe et les États-Unis.
"Je pense qu'il est important de dire, dans le contexte des discussions qui se déroulent actuellement en Europe, que je considère Biden comme étant très fidèle à l'alliance transatlantique", a déclaré à New York la chef du gouvernement danois au quotidien danois Politiken, en marge de l'Assemblée générale des Nations unies.
"Et je pense en général qu'il faut s'abstenir de soulever certains obstacles spécifiques, qui existeront toujours entre alliés, jusqu'à un niveau où ils ne sont pas censés être. Je veux vraiment, vraiment mettre en garde contre cela", a-t-elle ajouté.
La France, qui a rappelé son ambassadeur à Washington et demandé aux États-Unis des explications sur ce qu'elle présente comme une "rupture majeure de confiance" entre alliés, a dit étudier toutes ses options.
Emmanuel Macron a eu ce mercredi un entretien téléphonique de "clarification" avec le Président américain après l'annulation par l'Australie de ce contrat évalué à 40 milliards de dollars (34,1 milliards d'euros).