https://fr.sputniknews.africa/20210409/quel-role-pour-liran-dans-la-nouvelle-route-de-la-soie-chinoise-1045451847.html
Quel rôle pour l’Iran dans la nouvelle route de la soie chinoise?
Quel rôle pour l’Iran dans la nouvelle route de la soie chinoise?
Sputnik Afrique
Que pourrait produire une coopération stratégique et commerciale entre la Chine et l’Iran à hauteur de 400 milliards de dollars? Décryptage de Baki Maneche... 09.04.2021, Sputnik Afrique
2021-04-09T14:00+0200
2021-04-09T14:00+0200
2023-04-08T22:21+0200
https://cdn1.img.sputniknews.africa/i/logo/logo-social.png
iran
chine
moyen-orient
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
2021
Actus
fr_FR
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
actualités, international, le désordre mondial, iran, chine, route de la soie, moyen-orient
actualités, international, le désordre mondial, iran, chine, route de la soie, moyen-orient
Quel rôle pour l’Iran dans la nouvelle route de la soie chinoise?
14:00 09.04.2021 (Mis à jour: 22:21 08.04.2023) Que pourrait produire une coopération stratégique et commerciale entre la Chine et l’Iran à hauteur de 400 milliards de dollars? Décryptage de Baki Maneche, avocat spécialiste de la diplomatie des affaires de divers secteurs industriels, basé en France et en Iran, au micro de Rachel Marsden.
Au-delà de l’effet d’annonce d’un nouvel accord entre la Chine et l’Iran qui est intervenu tout juste avant la reprise des négociations sur le nucléaire iranien, à quoi une coopération stratégique et commerciale entre les deux pays pourrait-elle ressembler?
Baki Maneche, avocat spécialiste de la diplomatie des affaires, donne pour le Désordre mondial son analyse de la situation.
«L’Iran n’a fait que rattraper son retard dans la course en avant de la Chine, notamment dans la construction de la fameuse nouvelle route de la soie. Il est très important de souligner que pour l’instant, il n’y a rien de définitif, rien d’engageant, il n’y a surtout pas ces fameux 400 milliards sur la table. Il s’agit tout simplement de parler de principes futurs.»