«Libérez Julian Assange», «Free Assange», «Royaume-Uni, n'extrade pas Assange» («Le Royaume-Uni n’extrade pas Assange») disaient les pancartes d’une vingtaine de personnes rassemblées ce lundi devant l’Opéra.
Notre correspondant à Paris a interrogé des manifestants venus apporter leur soutien au fondateur de WikiLeaks le jour de la reprise du procès sur son extradition interrompu par la pandémie de coronavirus.
Corinne Henry sur l’affaire #JulianAssange: «Les États-Unis savaient tres bien que prononcer "viol" à l’encontre de quelqu’un allait marquer l’opinion publique surtout les féministes»
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175 ans de prison
Il a été arrêté en avril 2019 après avoir passé sept ans à l'ambassade d'Équateur à Londres où il s'était réfugié après avoir enfreint les conditions de sa liberté sous caution, craignant son extradition vers les États-Unis.
Détenu à la prison londonienne de haute sécurité de Belmarsh, Assange fera face à 18 accusations de tentative de piratage et de violation de la loi sur l'espionnage s'il est conduit devant la justice américaine.