D'après l'AFP, l'enquête a été confiée à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Sur place, «les trois fonctionnaires de police tentaient d'interpeller l'homme qui se débattait. L'un d'eux pratiquait alors un étranglement qui permettait de maîtriser le mis en cause". Il a sombré «rapidement dans l'inconscience», ajoute le parquet.
Pris en charge par les secours, son «décès était néanmoins constaté à 2h30 en dépit d'un massage cardiaque».
L'homme devait être convoqué à une audience fin mai «pour y répondre de faits de violences conjugales sur la personne de son ex-conjointe», indique le parquet.
Il avait été placé sous contrôle judiciaire avec l'interdiction d'entrer en contact avec son ex-compagne ou de se présenter à son domicile.
Le parquet est «dans l'attente du rapport de l'autopsie» et «des investigations en cours à l'IGPN en vue de déterminer avec précision les circonstances du décès.»