Selon la chaîne, avant que 1.750 volts ne passent à travers son corps, Edmund Zagorski a eu deux derniers mots, selon son avocate: «Let's rock». Condamné à mort pour un double meurtre commis en 1984, ce détenu américain avait déposé un recours pour être exécuté sur une chaise électrique et pas non par injection.
En cas d'injection, «les 10 à 18 dernières minutes de sa vie seront une horreur absolue» alors que s'il est électrocuté, il ressentira «une douleur insoutenable, probablement pendant 15 à 30 secondes», avaient écrit ses avocats dans leur requête.