Un groupe de chercheurs issus de l'Université d'Oxford, du Collège maritime de l'Université d'État de New York et de l'Université de Varsovie a examiné le fond diffus cosmologique et ont réussi à identifier les points qui pourraient marquer les «tombes» d'anciens trous noirs en provenance d'un autre univers plus ancien que le nôtre, relate le portail Live Science.
Ainsi, la nouvelle étude comprend l'analyse du fond diffus cosmologique (CMB) pour détecter les signes d'un ancien univers qui aurait pu exister auparavant. Bien que de telles singularités pré-universelles soient déjà mortes depuis longtemps, leur impact sur l'univers actuel devrait laisser des traces dans notre continuum espace-temps, expliquent les chercheurs.
Toujours est-il que la communauté scientifique reste plutôt sceptique à l'égard des résultats obtenus, et que d'autres chercheurs envisagent d'évaluer sous peu.