«Les USA, le Royaume-Uni et la France ont démontré que la rhétorique humanitaire et les tentatives de justifier leur présence en Syrie par le besoin de défaire les djihadistes leur étaient nécessaires pour dissimuler leurs projets de morceler le pays», a estimé le vice-chef de la diplomatie russe.
Auparavant, les pays occidentaux avaient accusé Damas d'avoir lancé une attaque chimique sur la ville de Douma dans la Ghouta orientale avant de brandir la menace de frappes sur le pays. Moscou a pour sa part démenti les informations faisant état du largage d'une bombe au chlore par l'armée syrienne à Douma.
Dans la nuit du 13 au 14 avril, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont effectué des frappes de missiles contre des sites syriens utilisés selon eux pour la production d'armes chimiques.