«Le tourisme pourrait être un facteur d'attraction et ensuite ça pourrait intéresser beaucoup d'investisseurs de venir voir les opportunités qu'il y a ici, en Crimée. […] Je pense que, dans tous les domaines, la Crimée […] peut intéresser les investisseurs.»
Et de poursuivre:
«Il y a 3.000 entreprises étrangères en Crimée. Le business ici est très favorable, ce n'est pas pour rien que 3.000 entreprises étrangères s'installent, c'est parce qu'il y a beaucoup de choses à faire en Crimée.»
En ce qui concerne des domaines, où, d'après Oumarou Abdourahamane, la Crimée, la Russie et le Niger pourraient collaborer, il s'agit, en premier lieu, du tourisme. Comme c'est la première fois qu'une délégation nigérienne vient en Crimée, le Niger n'a pas encore proposé de projets concrets de collaboration:
«Nous allons retourner au pays pour dire qu'il y a des opportunités en Crimée. Pour la Russie, nous voulons dans tous les domaines: domaine économique, domaine militaire.»
D'après le député nigérien, la Crimée a toutes les chances de devenir l'une des destinations les plus populaires au monde et il conseille au ministère du tourisme de Crimée de «beaucoup communiquer».
Et de conclure:
«Je pense que vous êtes appelés à avoir un très bel avenir avec la Russie. Je sais de quoi je parle.»