Tout le monde ou presque y voit une menace adressée à l'Iran et ses sites nucléaires. Mais de toute évidence, le calcul des Israéliens était bien plus fin et incluait Donald Trump dans l'équation. Selonle site d'info Vzgliad.
Cet aveu inattendu a été interprété par de nombreux experts comme un avertissement adressé à l'Iran en cas de reprise de son programme nucléaire.
«La principale conclusion à tirer du raid israélien contre le site nucléaire syrien en 2007 est que nous ne tolérerons pas le développement des moyens menaçant l'existence de l'État d'Israël. C'était le signal envoyé en 1981 quand nous avons attaqué le site nucléaire en Irak. C'était aussi le cas avec la Syrie en 2007. C'est une leçon pour nos ennemis à l'avenir», a déclaré le chef d'état-major israélien Gadi Eizenkot.
Les groupes aériens étaient identiques en 1981 et en 2007, bien qu'il s'agisse d'époques historiques différentes aussi bien pour les technologies nucléaires que militaires conventionnelles. Dans les deux cas, le groupe d'attaque était composé de quatre F-16 en première ligne et quatre F-15 en réserve pour couvrir les chasseurs.
En 2007, Damas a déclaré qu'il s'agissait d'un site vide appartenant à une association scientifique panarabe pour le développement de l'agriculture à Deir ez-Zor. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a exigé pendant quelques années de la Syrie qu'elle permette de mener une enquête et a finalement obtenu son autorisation. Après quoi, un rapport étrange a été publié indiquant que rien de concret n'avait été trouvé, mais qu'il y avait des «traces d'uranium d'origine anthropogène», ce qui peut être interprété comme on veut — y compris comme la reconnaissance par l'AIEA de son incompétence.
Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur de l'article repris d'un média russe et traduit dans son intégralité en français.