Selon le ministère, «pendant les mois qu'ont duré les attaques massives effectuées par des combattants, il n'y a eu aucune déclaration de la part des États-Unis ou de leurs partenaires occidentaux qui les auraient condamnées».
«Mais une fois que les autorités syriennes ont repoussé des groupes pro-américains, de fausses accusations typiques sur de prétendues frappes aériennes contre des établissements médicaux dans la Ghouta orientale et des rumeurs sur l'utilisation prétendue d'armes chimiques diffusées par des organes de propagande contrôlées ont suivi», a annoncé la Défense.
En outre, toujours d'après le ministère, depuis le début de l'année 2018, des formations armées illicites sous contrôle des États-Unis ont attaqué régulièrement les troupes syriennes à Harasta pour modifier les frontières de la zone de désescalade.
Les forces gouvernementales syriennes mènent actuellement une opération dans la Ghouta orientale en vue de nettoyer la zone de groupes islamistes, notamment de Jaysh al-Islam, mais aussi du Front al-Nosra*, d'Ahrar al-Sham et de Faylaq al-Rahmane.
*Le Front al-Nosra est une organisation interdite en Russie.