«Vous voyez, les gens ne peuvent même pas retenir leurs émotions négatives et mauvaises, et ainsi ils se trahissent. Bien sûr, quand la tête de la structure anti-dopage a soudain une dépression à cause d'une décision de la cour, qui est considérée aux États-Unis comme une instance sacrée, cela montre que cette entreprise — même compte tenu des problèmes que nous avons eus avec certains athlètes — a pour but de dénigrer la Russie par le biais du mouvement olympique», a déclaré le ministre.
Auparavant, le TAS avait levé les sanctions et suspensions à vie infligées à des sportifs russes par le CIO pour leur implication présumée dans «un système de dopage d'État» qui a valu à la Russie d'être suspendue des JO d'hiver.
Par la suite, le Comité national olympique de Russie a demandé au CIO d'envoyer des invitations à Pyeongchang aux 15 des 28 Russes disculpés, les 13 autres étant soit retraités, soit non-qualifiés pour les JO de 2018. Pourtant, le CIO a refusé d'inviter les intéressés aux Jeux olympiques de Pyeongchang. Parmi eux figurait notamment la star russe de short-track Viktor Ahn, sextuple champion olympique et d'origine sud-coréenne.