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Kiev réclame de nouveaux chars auprès de l’Allemagne et des États-Unis
Kiev réclame de nouveaux chars auprès de l’Allemagne et des États-Unis
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Kiev espère se faire livrer des chars américains Abrams et des Leopard 2 allemands, ainsi que des systèmes de défense antiaérienne plus modernes. La Défense... 02.09.2022, Sputnik Afrique
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Bénéficiaire de nombreux armements occidentaux, l’Ukraine espère recevoir des chars allemands et américains, après avoir essuyé un refus de l’Espagne.Il demande également à Berlin des systèmes de défense antiaérienne Iris-T plus modernes. Le gouvernement fédéral a promis quatre exemplaires. Selon Chmyhal, l'Ukraine en a besoin de 12, soit trois fois plus.Depuis le début du conflit, Berlin a déjà fourni à Kiev des armements pour un montant total de 686 millions de dollars et prévoit des livraisons supplémentaires. Le chancelier Olaf Scholz a déclaré début août avoir livré des armes tout à fait nouvelles dont certaines "n’ont même pas été introduites au sein de la Bundeswehr".Plus tard, la Défense allemande a fait état de l’épuisement des réserves disponibles de l’armée pour le transfert à d’autres pays. Selon elle, les livraisons "ont atteint la limite". Les prochaines risquent de se faire au détriment de la sécurité de l’État et l’Otan, ce qui n’est pas possible.Des aides financièresDe grands espoirs ukrainiens sont aussi fondés sur le financement continu de son économie, supervisé par l’Allemagne.Fin août, le chef de la diplomatie européenne a promis une nouvelle aide financière allant jusqu’à 8 milliards de dollars. Selon le ministre ukrainien des Finances, le pays a déjà reçu 17 milliards de dollars d’aides internationales et s’attend à toucher environ 13 milliards de dollars d’ici la fin de l’année.
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Kiev réclame de nouveaux chars auprès de l’Allemagne et des États-Unis
13:14 02.09.2022 (Mis à jour: 13:15 02.09.2022) Kiev espère se faire livrer des chars américains Abrams et des Leopard 2 allemands, ainsi que des systèmes de défense antiaérienne plus modernes. La Défense allemande avait pour sa part déjà fait état de l’épuisement des réserves disponibles pour le transfert à d’autres pays.
Bénéficiaire de nombreux armements occidentaux, l’Ukraine espère recevoir des chars allemands et américains,
après avoir essuyé un refus de l’Espagne."Nous nous attendons à ce que les États-Unis nous livrent leurs chars Abrams, et que l’Allemagne nous fournisse des Leopard 2. Ce sont des chars modernes dont l’Ukraine a besoin sur les champs de bataille", a déclaré le Premier ministre Denys Chmyhal dans une interview à la Deutsche Presse-Agentur.
Il demande également à Berlin des systèmes de défense antiaérienne Iris-T plus modernes. Le gouvernement fédéral a promis quatre exemplaires. Selon Chmyhal, l'Ukraine en a besoin de 12, soit trois fois plus.
Depuis le début du conflit, Berlin a déjà fourni à Kiev des armements pour un montant total de 686 millions de dollars et prévoit des livraisons supplémentaires. Le chancelier Olaf Scholz a déclaré début août avoir livré des armes tout à fait nouvelles dont certaines "n’ont même pas été introduites au sein de la Bundeswehr".
Plus tard,
la Défense allemande a fait état de l’épuisement des réserves disponibles de l’armée pour le transfert à d’autres pays. Selon elle, les livraisons "ont atteint la limite". Les prochaines risquent de se faire au détriment de la sécurité de l’État et l’Otan, ce qui n’est pas possible.
De grands espoirs ukrainiens sont aussi fondés sur le financement continu de son économie, supervisé par l’Allemagne.
"Nous nous attendons également à ce que le chancelier Scholz joue un rôle de premier plan en ce qui concerne l'aide supplémentaire du Fonds monétaire international ou de la Commission européenne. Sans soutien international, l'économie ukrainienne est menacée d'hyperinflation".
Fin août, le chef de la diplomatie européenne a promis une nouvelle aide financière allant jusqu’à 8 milliards de dollars. Selon le ministre ukrainien des Finances, le pays a déjà reçu 17 milliards de dollars d’aides internationales et s’attend à toucher environ 13 milliards de dollars d’ici la fin de l’année.
