«Les organisations humanitaires internationales se plaignent de ne pas pouvoir travailler à Raqqa: elles ne parviennent pas à y trouver un endroit sûr pour ouvrir des bureaux et distribuer de l'aide à la population parce que toute la ville est miné», a indiqué le responsable répondant à une question posée par un journaliste de la chaîne RT.*
«Est-ce que ceux qui ont ainsi "libéré" Raqqa des terroristes ont le droit moral de dire aux Syriens comment ils doivent construire l'avenir de leur pays?», se demande M.Kojine.
Auparavant, l'ONG des droits de l'Homme Amnesty International a accusé la coalition antiterroriste américaine d'avoir utilisé sans précision aucune de nombreuses munitions explosives dans des zones peuplées de civils à Raqqa. Selon Amnesty, l'opération a fait des milliers de morts et de blessés parmi la population civile et a détruit la majeure partie de la ville.
*Organisation terroriste interdite en Russie