Sans mentionner la date de ces exercices, le média indique que le numéro un nord-coréen a félicité les responsables militaires, tout en remarquant que par rapport à l'année précédente, l'efficacité de ce système « détectant et traquant des cibles a augmenté de façon remarquable, tout comme sa précision ».
Pyongyang avait déjà testé ce nouveau système en avril 2016, mais des défauts avaient été repérés, selon KCNA. Cette fois, M. Kim a pu s'assurer, selon l'agence, que toutes les lacunes du système avaient été « parfaitement comblées ».
Le dirigeant nord-coréen a par ailleurs ordonné la production du système « en grande quantité » en vue de le déployer « à travers tout le pays, comme la forêt, pour ruiner complètement le rêve fou de l'ennemi de contrôler les airs ».
Le 21 mai, Pyongyang a effectué un tir de missile à moyenne portée Pukguksong-2 dans la province de Pyongan Sud. L'engin a parcouru environ 500 kilomètres avant de s'abîmer en mer du Japon. Suite au test, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a donné son feu vert au déploiement du nouveau missile et a exigé que ce dernier soit produit « rapidement » et « en série ».
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