M. Hagel a relevé que l'administration était tenue avant tout de déterminer si la menace provenait du président syrien Bachar el-Assad ou du groupe terroriste Etat islamique (EI) afin de procéder à des alliances improbables contre l'ennemi commun.
"Nous pouvons continuer à tuer des gens, à jouer à un jeu de guerre par procuration et à ravager le Proche-Orient (…). Mais il est indispensable que la Russie, ainsi que l'Iran y prennent part", a-t-il martelé lors d'une émission diffusée par la chaîne CNN.
Tout en soulignant que les frappes aériennes réalisées depuis déjà un an faisaient partie intégrante d'un plan, l'homme politique a précisé que l'administration devait se focaliser sur une stratégie politique et tenir compte des effets secondaires des démarches entreprises.
"Il n'y a pas de solutions simples, même si certains affirment en avoir quelques-unes dans leur manche", a-t-il fait remarquer, soulignant que l'opinion exprimée dans la note de service en question différait de celle de l'administration américaine.